Arrêt cardiorespiratoire : Top 10 des idées reçues

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L'arrêt cardiorespiratoire, souvent confondu avec d'autres urgences vitales comme la crise cardiaque (ou autrement dit l'infarctus du myocarde), donne lieu à de nombreuses idées reçues. Cependant, bien comprendre cette urgence médicale peut sauver des vies. 

Dans cet article, nous allons déconstruire les 10 croyances les plus répandues sur ce sujet et expliquer pourquoi elles sont erronées. Vous verrez, intervenir face à un arrêt cardiaque est à la portée de tous !

1- Les arrêts cardiaques ne concernent que les personnes âgées

L'arrêt cardiorespiratoire est la première cause de mortalité en France. 50 000 personnes en décèdent chaque année, et absolument tout le monde peut être touché, n'importe où et n'importe quand. Les victimes ont 60 ans en moyenne, 40 ans pour les sportifs amateurs, et sont même parfois beaucoup plus jeunes.

2- En intervenant sur une personne en arrêt cardiaque, je risque d'empirer la situation

En portant secours, vous ne pouvez pas aggraver l’état d’une personne en arrêt cardiaque. C’est une urgence vitale ! Sans intervention, ses chances de survie diminuent de 10% chaque minute. Le seul risque que vous prenez est donc de sauver une vie. Et pour cela, il y a 3 gestes simples à réaliser, à la portée de tous : 

1. alerter les secours,
2. réaliser un massage cardiaque,
3. utiliser un défibrillateur.

En France, le taux de survie des victimes d’arrêt cardiaque est de moins de 5%. Pourquoi ? Il faut agir dans les 4 premières minutes pour sauver une vie, alors que les secours mettent en moyenne 15 minutes pour arriver. 

3- Face à une victime d'arrêt cardiorespiratoire, je risque d’être poursuivi si la victime ne survit pas

Concrètement, vous ne pouvez pas être poursuivi parce que vous avez essayé de sauver une victime. 

Depuis 2020, la loi protège les "citoyens sauveteurs", c'est-à-dire les personnes qui portent assistance, de façon volontaire et bénévole, à une victime manifestement en urgence vitale, notamment en situation de détresse cardio-respiratoire. Le seul risque que vous prenez, c'est celui de sauver une vie avec des gestes simples et en utilisant un défibrillateur, comme vu ci-dessus !

Dans les parties suivantes, déconstruisons ensemble les idées reçues sur les défibrillateurs et leur utilisation.

4- Seuls les professionnels de santé peuvent et savent utiliser un défibrillateur

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Les défibrillateurs sont utilisables par absolument tout le monde, même sans formation ni connaissance particulière. Il suffit de suivre les instructions, il n'y a aucune décision à prendre et aucun risque de se tromper ou d'aggraver la situation.

Bon à savoir 💡 Le défibrillateur est complémentaire au massage cardiaque. En effet, le massage cardiaque permet de continuer à faire circuler le sang dans le corps pour oxygéner les organes et donc limiter les séquelles. Le défibrillateur, quant à lui, permet de resynchroniser l'activité électrique du cœur en cas de fibrillation. Il analyse l'activité électrique du cœur et indique la thérapie à délivrer. Cette complémentarité permet de maximiser les chances de survie des victimes d'arrêt cardiaque.

5- Avoir un défibrillateur chez soi n'a aucun intérêt

Dans 70% des cas, un témoin est présent et peut agir pour changer les choses. Le rôle du premier témoin est donc essentiel ! Et comme 80% des arrêts cardiaques ont lieu à domicile, avoir un défibrillateur chez soi permet de gagner en sérénité et surtout d'intervenir rapidement et efficacement en cas de besoin. En ce sens, de plus en plus de personnes choisissent d’équiper leur immeuble d’habitation ou leur résidence individuelle.

6- Si la loi ne m’oblige pas à équiper mon entreprise, ce n’est pas indispensable

En application de la loi n°2018-527 du 28 juin 2018, les établissements recevant du public (ERP) ont progressivement été amenés à se soumettre à l’obligation de s’équiper d’un défibrillateur automatique externe (DAE).

Le décret n°2018-1186 du 19 décembre 2018 précise quels sont les établissements recevant du public concernés et depuis quand par cette obligation :

• Les ERP de catégories 1, 2 et 3 le sont depuis le 1er janvier 2020 ;
• Les ERP de catégorie 4, depuis le 1er janvier 2021 ;
• Concernant les ERP de catégorie 5, certains sont tenus par cette obligation depuis le 1er janvier 2022.

Comme nous venons de le voir ci-dessus, il faut agir dans les premières minutes de l’arrêt cardiaque pour maximiser les chances de survie des victimes. Au même titre qu'un extincteur, il est essentiel d'avoir un défibrillateur dans son entreprise, même pour celles qui ne sont pas dans l’obligation de s’équiper, de sorte à protéger les collaborateurs et les clients, et intervenir rapidement et efficacement en cas de besoin.

7- Les défibrillateurs sont réservés aux lieux publics

Depuis la loi de 2007, les défibrillateurs automatisés externes sont utilisables par tous et disponibles dans de nombreux lieux publics. Comme nous venons de le voir, une nouvelle étape a été franchie en 2020 pour encourager leur adoption dans les établissements recevant du public. Or, la grande majorité des arrêts cardiaques surviennent à domicile. 

C’est la raison pour laquelle Lifeaz a développé Clark, le 1er défibrillateur conçu pour les particuliers. Fabriqué en France, ultra simple à utiliser, connecté pour une maintenance beaucoup plus fiable, accompagné d’une application de formation aux gestes qui sauvent et accessible financièrement, Clark a progressivement suscité l’intérêt de nombreux particuliers mais aussi de nombreuses entreprises. Il est alors devenu le 1er défibrillateur déployable partout. Aujourd’hui, tout le monde peut avoir un défibrillateur chez soi, dans son entreprise, dans son restaurant, son hôtel, dans sa salle de sport, ou encore dans son cabinet médical.

Même si des défibrillateurs existent déjà sur le marché pour équiper les communes ou les entreprises, de plus en plus de personnes peuvent désormais accéder à un défibrillateur que ce soit pour leur restaurant, leur hôtel, leur entreprise, leur salle de sport, leur cabinet médical mais aussi leur domicile, pour une trentaine d’euros par mois.

8- Un défibrillateur n’a pas besoin de maintenance

Les entreprises dans l’obligation de s’équiper doivent assurer la maintenance de leurs appareils, afin que les défibrillateurs soient fonctionnels à chaque instant. Il faut entre autres veiller au changement de la batterie lorsqu’elle est faible ainsi qu’au renouvellement des électrodes lorsqu’elles arrivent à péremption ou après chaque utilisation. 

Aujourd'hui en France, 30% des défibrillateurs ne fonctionnent pas, faute de maintenance dans les lieux publics. Chez Lifeaz, nous voulons absolument éviter cela. Notre défibrillateur est connecté et notre équipe suit à distance et en permanence l'ensemble de nos défibrillateurs. C'est cette combinaison qui nous permet d’assurer que votre défibrillateur fonctionnera à tout moment, et surtout en cas d'urgence. Nos offres sont d’ailleurs clé en main et comprennent la maintenance gérée par Lifeaz pour que le client n’ait à se soucier de rien.

9- Gérer l'entretien/la maintenance d'un défibrillateur est contraignant et très cher

De manière générale, le suivi et la maintenance sont simples à mettre en place pour un défibrillateur mais cela peut vite coûter cher lorsque des techniciens doivent se déplacer ou lorsqu’il faut changer les consommables (batterie et électrodes).

La connectivité permet d’aller encore plus loin dans la maintenance des défibrillateurs. En effet, le défibrillateur Clark de Lifeaz réalise des auto-tests techniques quotidiens, nous envoie un rapport hebdomadaire et nous prévient, et vous prévient, en cas d'anomalie. Ce qui permet un suivi plus fiable, plus simple et moins coûteux que le passage annuel d’un technicien. Vous n'avez strictement rien à faire !

10- Un défibrillateur, ça coûte cher

Tout d’abord, les prix des défibrillateurs concurrents sont assez élevés. La plupart des modèles sont vendus entre 1 500€ et 2 000€. Sans compter que les tarifs n’incluent pas tout le temps les frais de maintenance (dont la loi impose qu’elle soit réalisée tous les ans), ni le renouvellement des consommables tels que la batterie ou les électrodes, qui peuvent atteindre plusieurs centaines d’euros. 

Chez Lifeaz, nous cherchons à rendre le plus accessible possible notre défibrillateur. C'est la raison pour laquelle il est disponible à l'achat et en location, afin que nos clients bénéficient de la solution répondant au mieux à leurs besoins.

Pas plus cher qu'un smartphone, le défibrillateur Clark de Lifeaz dure 10 ans et sauve des vies. Un achat utile et pérenne pour se protéger et protéger sa famille, ses amis, ses employés, ses collègues ou encore ses clients.

Nous proposons également la location mensuelle, qui permet de lisser les coûts. Comme un abonnement téléphonique, une assurance habitation ou un système d'alarme, la location du défibrillateur Lifeaz est à seulement une trentaine d'euros par mois. Imbattable et pratique pour ne se soucier de rien !

Même si nous fabriquons dans l’hexagone (à Honfleur, en Normandie), nous arrivons à proposer des prix compétitifs sur le marché par rapport aux autres défibrillateurs qui peuvent être produits aux 4 coins du monde. Pour cela, nous réduisons nos marges et proposons tout en direct, la plupart du temps sans intermédiaire et nous innovons par la technologie.

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Les idées reçues sur l’arrêt cardiorespiratoire peuvent freiner à porter secours. Pourtant, des solutions existent et sont à la portée de tous. Que ce soit en apprenant à pratiquer un massage cardiaque ou en installant un défibrillateur chez vous ou dans votre entreprise, chaque geste compte.

👉 Vous souhaitez en savoir plus sur l’arrêt cardiaque ? Rendez-vous sur le blog Lifeaz pour découvrir d’autres articles sur le sujet.